Il existe une véritable « bataille florale » concernant les essences découvertes par Bach dans les années trente et celles de ses adeptes et successeurs, dites de « deuxième génération », et qui regroupent les Fleurs de Californie, les Fleurs du Bush et bien d’autres.
Le néophyte qui tente de se renseigner et d’y voir clair a parfois bien du mal à se faire une idée. Pourtant la réalité est là : elles donnent toutes d’excellents résultats, pourvu qu’on ait trouvé celles qui conviennent à son propre cas.
Au hasard de mes lectures, j’ai trouvé une approche qui m’a semblé très convaincante car elle permet de les mettre en perspective et de les intégrer harmonieusement.
Il s’agit de l’analyse d’une grande dame de la thérapie florale, Susana Veilati.
Argentine d’origine, elle vit maintenant en Espagne et dirige l’Ecole Espagnole de Thérapie Florale de Madrid.
Il s’agit de l’analyse d’une grande dame de la thérapie florale, Susana Veilati.
Argentine d’origine, elle vit maintenant en Espagne et dirige l’Ecole Espagnole de Thérapie Florale de Madrid.
Dans son « Traité complet de Thérapie Florale »(1), elle étudie l’histoire des élixirs floraux, de Bach à nos jours. Elle relate avec une grande impartialité les découvertes de Bach, les conseils qu’il a donnés à ses successeurs, et les conflits qui s’en sont suivis. Notre propos n’est pas de les rapporter ici. En voici simplement un bref résumé.
Certains, empreints d’une véritable dévotion, ont voulu garder le legs du « maître » dans un état de pureté et de fidélité totale. D’autres ont préféré suivre son exemple, continuer son œuvre en quelque sorte, et rechercher d’autres essences, plus adaptées aux problèmes de leurs contemporains.
Sans toutefois renoncer aux Fleurs de Bach, qui, pour eux, gardent toute leur valeur, mais sans vouloir non plus les tirer dans tous les sens pour leur faire donner coûte que coûte une réponse à tous les problèmes actuels. Quand Richard Katz, inventeur des Fleurs de Californie, est allé présenter au Centre Bach d’Angleterre le fruit de quinze années de recherche, il s’est heurté à un refus catégorique : il était impossible que des essences florales puissent exister en dehors de celles découvertes par Bach lui-même. D’idéologique, la bataille est devenue aussi commerciale, et elle s’est poursuivie avec le temps.
La conclusion de S.Veilati est claire :
« Ceux qui ont travaillé pendant de nombreuses années avec les Fleurs de Bach, que ce soit pour soigner des patients ou pour se soigner eux-mêmes, savent parfaitement qu’il existe un nombre considérable d’états que ces fleurs ne traitent pas, ou de façon incomplète, que ce soit parce qu’elle mettent beaucoup de temps à faire effet ou parce qu’il faut utiliser plusieurs essences pour traiter un seul et même problème. »
Et l’auteur de citer les nombreux domaines non abordés par Bach où les fleurs de Californie sont venues apporter des solutions :
(1) Susana Veilati
(2) Nous ne tenons pas ces fleurs en stock. Si vous souhaitez vous les procurer, merci de prendre contact avec nous.